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Expérience d’auteure

Danielle Richer

Danielle Richer, née à Montréal, en 1954.

Premier roman : Et la dernière y restera

« D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les romans policiers.

Ceux qui reposent sur des intrigues, du suspense, des liens humains et non sur des descriptions sordides et sanguinolentes de souffrances. Tous les romans d’Agatha Christie, de Charles Exbrayat et de Maurice Leblanc ont fait partie de ma vie d’adolescente et de jeune adulte. Plusieurs décennies plus tard, sur ma table de chevet, on trouvera souvent le dernier-né de Louise Penny, de Lisa Gardner ou de Fred Vargas. Des polars écrits par des femmes.

Dans mon parcours, j’ai connu le bonheur d’enseigner la musique, d’organiser des concerts, et d’exercer ma plume en écrivant de nombreux textes et discours. Tant au Québec qu’en France. Et j’ai trouvé l’inspiration brute et profonde d’abord dans l’univers de la musique, puis dans mon rôle de mère, et finalement, dans le monde de la philanthropie.

Danielle Richer, née à Montréal, en 1954.

Premier roman : Et la dernière y restera

Il y a quelques années, j’ai dû mettre mes activités professionnelles sur pause. Pour un an. Que faire alors de tout ce temps ? Quelle idée s’est imposée d’emblée ? Écrire un roman bien sûr. Un polar ! Une histoire que je voyais inspirée du geste de donner à des inconnus, de l’amour inconditionnel d’un parent pour son enfant, des choix que font les êtres humains… lorsque tout dérape, tout bascule et tout nous échappe.
Construire un roman policier implique une structure. Un point de départ, un point d’arrivée. Quant au chemin qui mène de l’un à l’autre, j’ai vécu l’enivrante sensation de n’être que le témoin d’une histoire qui avait son existence propre et que je ne faisais que transcrire.

Après avoir travaillé, mis de côté, retravaillé, remis de côté et finalement soumis mon manuscrit au regard des autres, ce roman a remporté de l’intérêt, voire de l’enthousiasme auprès de quelques éditeurs mais au final, aucun contrat d’édition. J’avais connu BouquinBec par un ami écrivain. Je me suis renseignée, et j’y ai trouvé le soutien dont j’avais besoin : une réviseure, un graphiste et une coordonnatrice attentifs et compétents. Tous ces professionnels de l’édition m’ont accompagnée, me suggérant, parfois, quelques modifications ou corrections, toujours dans le respect de mon texte et de mon style d’écriture.

Qu’est-ce qui rend cet exercice de travail littéraire chez BouquinBec si unique ?
C’est l’auteur qui décide !

Un service d’impression et une boutique Web de vente des livres sont également offerts à la même enseigne. Si votre désir est d’être lu, si vous pouvez promouvoir votre livre vous-même, si vous disposez d’un petit budget de départ, faites-vous ce cadeau. Pour ma part, j’y ai gagné des moments fabuleux d’excitation, de joie et de fierté.

Finie, la salle d’attente !
Mon roman existe, il est lu et il se vend. La suite est en cours d’écriture… »
Résumé du livre

Jeune, belle, audacieuse, Simone Cardin est l’ambitieuse directrice aux dons majeurs de la Fondation Cancer-Vie où se côtoient grands donateurs et personnalités notoires du Québec, unis pour guérir des adolescents atteints de cancer.

Tout sourit à Simone jusqu’à ce jour où elle reçoit le donateur idéal. Célibataire, distingué, et surtout, immensément fortuné. Persuadée d’avoir rencontré la perle rare, Simone…